Houston, karcher & polo

Vendredi 17 mai 2019

Houston

Journée relax, piscine, lecture et pour moi, comme l’inactivité me pèse, j’étrenne le karcher de Natacha en nettoyant tout l’entourage de la piscine, côté température, on est calés sur 35°C… et en même temps, Paulette s’attaque aux coussins d’extérieur, qui ont souffert de l’hiver.

Samedi 18 mai 2019

Houston – Tomball – Houston

 On accompagne Natacha aux écuries, petite séance d’entraînement avant qu’il ne fasse trop chaud.

On se rend ensuite à Tomball, au nord de Houston, où se situe son magasin préféré d’accessoires pour chevaux, là il s’agit juste de donner à nettoyer les couvertures diverses et variées d’Alaze, plus ou moins chaudes selon l’intensité du front froid du moment.

Tomball est une petite bourgade qui se veut authentique, témoin de ce qu’était le début du développement du Texas. Située au pied des petites collines qui bordent la vaste plaine formant le fond du golfe, elle a véritablement pris son essor lorsque le train s’y est arrêté, donnant un débouché aux productions des ranches. Ensuite, ce fut le boom du pétrole, Tomball fut un moment qualifiée « d’île flottant sur une mer de pétrole » et un gisement y fut exploité non-stop de 1933 à 1988.

Déjeuner Tex Mex sympa chez Cisco et on rentre juste à temps avant une averse.

Houston et sa banlieue s’étendent encore, entre autres vers le nord, d’impressionnantes autoroutes à 4 ou 5 voies sont en cours d’achèvement, sur pilotis car les terrains qu’elles traversent sont marécageux et surtout inondables, ce qui n’empêche pas les promoteurs immobiliers locaux de faire des lotissements plutôt concentrationnaires, avec des maisons pratiquement collées les unes aux autres, juste à côté. Cherchez l’erreur !

Dimanche 19 mai 2019

Houston

Ce matin j’ai achevé le nettoyage au karcher du drive-way devant la maison. Les orages annoncés pour l’après-midi ont le bon goût de ne pas sévir et cela nous permet de vaquer à une occupation typiquement prolétaire, en l’occurrence aller assister à des matchs de polo au Houston Polo Club en dégustant une coupe de champagne…

Les chevaux pour le polo, petits et racés se fatiguant vite, en moyenne un joueur de polo doit en avoir quatre ou cinq car il y en a toujours au moins un qui n’est pas en forme pour des raisons variées et il faut en changer plusieurs fois par match… Cela représente donc un budget certain…

C’est assez spectaculaire et c’est tout juste si on a le temps de les voir frapper la balle !

Les photos sont ici.

Laisser un commentaire